Sélectionner une page
Comment isoler les tuyaux industriels avec de l’élastomère ?

Comment isoler les tuyaux industriels avec de l’élastomère ?

Le calorifugeage réduit les transferts de chaleur au niveau des installations de circulation de fluides. Sur des systèmes industriels et tertiaires de grandes dimensions, le gain énergétique permis par ces actions d’isolation est d’autant plus important. La mousse élastomère fait partie des isolants courants en calorifugeage. Ses propriétés isolantes et sa grande résistance en font un matériau intéressant pour l’isolation des installations industrielles.  

La mousse élastomère, un isolant courant en calorifugeage  

Sur les opérations de calorifugeage, on retrouve une dizaine d’isolants couramment employés :  

  • Laines minérales ;  
  • Mousses polyuréthane ; 
  • Mousse polyéthylène ; 
  • Mousse phénolique ; 
  • Polystyrène extrudé ; 
  • Polystyrène expansé ; 
  • Verre cellulaire ; 
  • Perlite expansée…  

Chacun de ces produits présente des qualités spécifiques. La mousse élastomère fait partie des solutions de choix pour réduire les transferts de chaleur au niveau des installations de chauffage et d’eau chaude sanitaire. Ce matériau synthétique étanche peut supporter des températures négatives et supérieures à 100 °C. Une résistance et un grand écart thermique qui autorisent son application dans le cadre du calorifugeage industriel.   

Calorifugeage : les avantages de la mousse élastomère  

La mousse élastomère est un isolant synthétique qui se caractérise par sa densité et sa résistance. Cet isolant permet de maintenir une température constante sur les installations industrielles en protégeant à la fois les conduits d’eau chaude, de fluides froids ou de gaz réfrigérants.  

Cellules fermées  

Comme le polyéthylène, la mousse élastomère présente des cellules fermées. Ces structures affichent une faible perméabilité à l’air, mais aussi un poids plus élevé compte tenu de leur densité. Ces propriétés peuvent être un avantage ou une contrainte selon les environnements. Dans certaines configurations, ce sont les matériaux « respirants », à cellules ouvertes, qui seront privilégiés. Pour une opération de calorifugeage, la mousse élastomère offre une grande efficacité, même avec une couche isolante relativement fine.  

Isolation phonique  

Cette structure particulière fait aussi de la mousse élastomère un bon isolant acoustique. Les canalisations peuvent être une source de nuisances sonores importantes en construction. Le calorifugeage avec une mousse élastomère permet d’agir sur les vibrations et la diffusion du bruit par les tuyaux. C’est un moyen d’améliorer le confort acoustique des professionnels qui travaillent sur des sites industriels bruyants.  

Tolérance aux variations thermiques  

La mousse élastomère peut être mise en œuvre dans des environnements soumis à des températures négative ou dépassant les 100 °C. Ce matériau est donc compatible avec les écarts de températures rencontrés dans les immeubles d’habitation, les bâtiments tertiaires et les établissements publics, mais aussi dans les locaux industriels et sur leurs installations.  

Souplesse et élasticité  

La structure élastique de la mousse élastomère est un atout de taille en calorifugeage. Contrairement à une opération d’isolation réalisée sur des surfaces planes, l’isolation en calorifugeage doit épouser des formes complexes. Il s’agit de suivre l’arrondie de la surface, mais aussi les coudes des canalisations et des conduits. La mousse élastomère se plie sans difficulté à cet exercice grâce à sa structure flexible. Faciles à découper, les manchons élastomères peuvent être taillés pour protéger toute la longueur de l’installation, y compris sur les angles à 90°.  

Résistance en milieu humide  

Les milieux industriels mettent les matériaux à rude épreuve : le froid et la chaleur, mais aussi l’humidité ambiante. La mousse élastomère ne craint pas la vapeur d’eau. L’humidité n’affecte pas ses propriétés isolantes et n’expose pas non plus le matériau au risque de développement de moisissures. Autre point intéressant pour une application industrielle : la mousse élastomère agit aussi comme un pare-vapeur. Inutile de prévoir une couche supplémentaire dédiée à cette fonction.   

Les limites de la mousse élastomère en milieu industriel  

Aussi performante soit-elle, la mousse élastomère ne peut pas convenir à tous les milieux industriels. Sur des sites pétrochimiques par exemple, les variations de température sont telles que l’isolant doit pouvoir résister à un froid extrême et à une chaleur allant bien au-delà des 500 °C. Le calorifugeur et les fabricants sont là pour trouver et proposer des solutions adaptées aux contraintes de chaque site industriel.  

Mise en œuvre de la mousse élastomère sur les tuyaux  

Pour le calorifugeage des tuyaux, l’isolant élastomère se présente sous forme de manchons. La première étape de la pose consiste à fendre le produit dans le sens de la longueur. La mousse élastomère peut ensuite être collée sur son support. Les extrémités de chaque manchon sont collées entre elles afin d’assurer la continuité de l’enveloppe isolante.  

Dans un second temps, la couche d’élastomère est revêtue d’une protection plastique ou métallique. Ce revêtement assure la protection mécanique du matériau isolant. Cette mise en œuvre peut être réalisée par collage, à l’aide d’agrafes, de rivets ou de rubans adhésifs.  

La pertinence du recours à la mousse élastomère et les détails de ses conditions de mise en œuvre sont à vérifier auprès du fabricant et du professionnel calorifugeur. Alsic, spécialiste en produits d’isolation thermique industriels et chauffage, propose des manchons élastomères et d’autres solutions de calorifugeage. La société et ses collaborateurs accompagnent les professionnels dans le choix d’une solution technique adaptée à chaque chantier.  

Calorifugeage, l’efficacité à tous les étages

Calorifugeage, l’efficacité à tous les étages

Tapis dans l’ombre, les tuyaux sont les grands oubliés de l’isolation thermique. Pourtant, au même titre que les murs, les toitures et les planchers bas, le réseau hydraulique est une source de déperditions thermiques importante dans le bâtiment. Voyons comment mettre en œuvre l’isolation des canalisations et prolonger sa durée de vie.  

Rappels sur le calorifugeage  

Le calorifugeage est une action d’isolation qui vise les réseaux hydrauliques chaud et froid du bâtiment. Il peut également s’appliquer aux équipements industriels, mais la logique est partout la même : réduire les échanges thermiques entre l’intérieur et l’extérieur du conduit.  

Qu’est-ce que le calorifugeage ?  

Le calorifugeage permet d’agir sur les flux de calories entre une portion de canalisation et le volume dans lequel elle se trouve. Les tuyaux nus constituent une zone d’échanges thermiques proportionnels à la différence de température entre le fluide transporté et l’air ambiant.  

Les tuyaux d’eau chaude qui alimentent le bâtiment en chauffage et en eau chaude sanitaire (ESC) perdent des quantités de chaleur importantes en traversant des volumes non chauffés en hiver.  

Les canalisations du réseau d’eau froide vont quant à elles gagner des calories en passant par des espaces surchauffés, confinés, mal ventilés… Le volume chaud transmet naturellement ses calories aux canalisations non isolées.  

Le calorifugeage permet de traiter ces deux situations de gaspillage d’énergie et de ressources.  

Quels sont les gains énergétiques attendus ?  

Selon les installations et les écarts de température observés, le gain de performance après une opération d’isolation des tuyauteries d’eau chaude peut aller jusqu’à 15 %. Dans tous les cas, l’impact n’est pas négligeable et augmente avec la distance parcourue par le réseau dans des volumes non chauffés.  

Du côté du réseau d’eau froide, le gain d’énergie s’évalue différemment. Prenons une copropriété d’une dizaine de logements. Lorsque les occupants ouvrent le robinet d’eau froide, la température du fluide est généralement d’une petite dizaine de degrés. Si les canalisations sont exposées à une chaleur importante en fin de parcours, l’utilisateur obtient une eau plus chaude qu’à l’accoutumée. Il doit alors laisser couler l’eau froide jusqu’à obtenir la température attendue. Ce qui représente un gaspillage de ressource inutile. Cela vaut aussi pour l’eau chaude. Les tuyaux calorifugés permettent d’obtenir de l’eau chaude plus rapidement pour différents usages.  

Quelle est la durée de vie du calorifugeage ?  

La durée de vie du calorifugeage est liée au matériau isolant choisi pour l’opération et aux conditions de mise en œuvre des coquilles isolantes.  

Pour le réseau hydraulique froid, la couche d’isolant thermique est complétée d’une membrane pare-vapeur. Sur une canalisation d’eau chaude, l’isolant est recouvert d’une protection mécanique.  

Le calorifugeage protège les canalisations pendant plusieurs dizaines d’années. Les fiches d’opération standardisées prévoient une durée de vie conditionnelle de 30 ans pour le calorifugeage des réseaux de chaleur. 

 

Comment entretenir et allonger la durée de vie des canalisations calorifugées ?  

Optimiser la durée de vie des canalisations calorifugées commence par quelques précautions d’installation. Pas question d’isoler des tuyaux défectueux ou en proie à la corrosion. L’étanchéité des canalisations doit être vérifiée et un traitement anti-corrosion appliqué avant d’enfermer le tuyau dans sa coquille isolante. 

Une fois l’ouvrage achevé, le propriétaire de l’installation doit s’assurer de son entretien régulier et surveiller l’apparition d’éventuels défauts.  Sur une installation de chauffage, la maintenance de l’équipement de production d’eau chaude est aussi l’occasion de vérifier l’état du calorifugeage.  

En dehors des opérations régulières de contrôle, toute déformation ou perforation justifie l’intervention d’un professionnel. Certains événements impliquent le retrait et le remplacement de l’isolant endommagé. Par exemple, si l’isolant a été mouillé, il doit impérativement être remplacé.  

Calorifugeage vieillissant ou mal entretenu, quels sont les risques ?  

Un calorifugeage performant doit être préservé de toute dégradation. Chaque défaut constitue un point d’échange thermique entre l’intérieur et l’extérieur de la canalisation.  

Quels sont les signes d’un calorifugeage vieillissant ou détérioré ?  

Le calorifugeage n’est pas éternel et se dégrade progressivement avec le temps. Arrivé au bout de son cycle de vie, l’ouvrage doit être retiré et l’opération renouvelée. L’isolation des tuyauteries peut aussi souffrir d’une usure prématurée. Celle-ci est normalement décelée au cours des opérations de maintenance et de vérification.  

Dans tous les cas, les défauts observés ont un point commun : la rupture de la continuité de l’isolation. Le matériau isolant est déchiré, perforé, coupé sur un ou plusieurs points singuliers. Il peut également s’agir d’un large retrait de matière sur toute une partie de la canalisation. Dès lors, le calorifugeage ne remplit plus sa mission de protection depuis la source de production jusqu’aux émetteurs.  

Conséquences d’un défaut de calorifugeage non traité  

Plus les défauts sont nombreux et importants plus l’impact sera ressenti du point de vue du confort thermique, du confort d’usage et de la consommation en énergie.  

Si vous ne remplacez pas un calorifugeage vieillissant ou que vous passez à côté d’un désordre naissant sur une isolation plus récente, vous risquez de retrouver les niveaux de consommation excessifs enregistrés avant les travaux.  

Pourquoi faut-il isoler les canalisations ?

Pourquoi faut-il isoler les canalisations ?

Traiter une gêne acoustique, une déperdition thermique ou maîtriser ses dépenses en énergie… Tous ces objectifs ont en commun l’amélioration des performances énergétiques du bâtiment qui passent en partie par le soin accordé aux réseaux de canalisations. L’isolation des tuyauteries permet ainsi de réduire les nuisances sonores et les pertes de chaleur, ainsi que la consommation en eau et en énergie. On vous explique pourquoi.  

Isolation phonique  

Une bonne isolation phonique freine la diffusion du bruit dans le bâtiment. Les nuisances peuvent provenir de l’extérieur ou de l’intérieur et se propager aux quatre coins de la structure. Les canalisations qui traversent tout le bâtiment font partie des vecteurs sur lesquels il faut travailler pour améliorer les performances acoustiques des lieux.  

Comprendre les nuisances sonores dans le bâtiment  

À l’intérieur d’un bâtiment, les occupants sont exposés à des bruits de natures différentes. On distingue essentiellement les bruits de canalisation d’eau et les bruits aériens et solidiens.  

Dans un volume fermé, l’émission d’un bruit aérien se traduit par une vibration dans l’air. Ces ondes sonores se propagent dans la pièce et au-delà. Sensible à ces vibrations, la structure du bâtiment devient un support de transmission du bruit dans toute la construction. Le passage d’un volume à l’autre peut aussi se faire au niveau des fissures et d’autres défauts d’étanchéité affectant la paroi.  

Un bruit solidien est le résultat d’un choc ou d’un impact faisant vibrer les éléments de la structure du bâtiment. Une porte qui claque, des pas sur le plancher, le choc du marteau ou les vibrations de la perceuse… Toutes ces actions peuvent entraîner une gêne importante, même à l’autre bout du bâtiment.   

Le rôle des canalisations dans la diffusion du bruit  

Les canalisations distribuent l’eau chaude et la chaleur produite par l’installation de chauffage central. En traversant les pièces et les étages, elles peuvent aussi devenir un vecteur de diffusion du bruit, au même titre que les gaines de ventilation qui sont une source fréquente de nuisances dans le bâtiment.  

Toutes ces installations doivent faire l’objet d’un enrobage approprié. Le choix de l’isolant est décisif et les critères de sélection sont bien différents de ceux applicables au confort thermique. Un bon isolant thermique n’est pas nécessairement un bon isolant acoustique. La laine minérale sera ainsi bien plus impactant que le polystyrène expansé en matière d’affaiblissement acoustique.  

Chez Alsic, nous nous spécialisons dans les produits d’isolation thermique industriels et de chauffages. Nous savons aussi vous aiguiller vers une solution qui puisse répondre à double objectif de performances thermiques et acoustiques. Notre appartenance au réseau Eozia nous permet de vous proposer toute une gamme d’isolation acoustique de haute qualité, sans compromis pour le confort thermique.  

Isolation thermique  

Ce confort thermique passe lui aussi par les canalisations. L‘isolation des tuyauteries ou calorifugeage vise les installations de circulation des fluides caloporteurs, mais aussi les réseaux d’eau froide.  

Les zones sensibles du bâtiment  

Les effets du calorifugeage sont particulièrement importants dans certaines zones du bâtiment. Dans un immeuble tertiaire, comme dans une maison, certains espaces sont inoccupés ou inexploités par les habitants et les usagers.  

Les caves, les débarras, les vides sanitaires ou encore les cages d’escalier ne sont pas équipés d’émetteur de chaleur. Quand les températures chutent à l’extérieur, ces volumes refroidissent à un rythme plus ou moins élevé selon le niveau d’isolation de l’enveloppe du bâtiment. Quoi qu’il en soit, ces espaces enregistrent des écarts de température importants.  

Lorsque les canalisations traversent ces volumes, elles sont soumises à ces températures extrêmes, notamment en hiver et en été. S’agissant de la saison froide, les circuits d’eau chaude et de chauffage vont perdre inutilement de la chaleur dans ces volumes occupés. À la belle saison, ce sont les consommations en eau froide qui risquent d’être inutilement élevées. Les canalisations d’eau froide étant cette fois-ci exposées à des températures ambiantes trop élevées.  

Impact sur le confort et sur la facture énergétique 

Ce défaut d’isolation thermique au niveau des canalisations peut entraîner une surconsommation de l’ordre de 10 %. Par conséquent, le calorifugeage est un moyen d’améliorer le confort thermique des occupants tout en réduisant leur consommation en hiver dans les mêmes proportions.  

En été, l’isolation des canalisations permet d’optimiser la consommation d’eau. Les utilisateurs n’auront plus besoin de laisser les robinets ouverts inutilement pour obtenir une eau réellement froide.  

En définitive, les travaux de calorifugeage permettent de gagner en efficacité dans tous les scénarios impliquant des écarts de température importants entre les réseaux de canalisation et les conditions climatiques extérieures.  

Un réseau mieux protégé  

Les réseaux de canalisation laissés à nu exposent les personnes à des risques de brûlures. Naturellement, les tuyauteries sont, elles aussi, davantage exposées à des dommages qui pourraient affecter leur durabilité.  

Protéger ces réseaux de canalisations par un enrobage thermique et acoustique permet ainsi d’atteindre un triple objectif. Les tuyauteries sont préservées des dégradations accidentelles, elles ne craignent plus les excès de froid et les pics de chaleur extérieurs, et apportent un confort thermique et acoustique optimal.  

L’isolation de la tuyauterie dans les copropriétés

L’isolation de la tuyauterie dans les copropriétés

Une consommation excessive en énergie de chauffage, une eau froide qui n’est plus si froide en été… Plusieurs signaux pointent vers un défaut d’isolation des tuyauteries. Dans cette situation, la copropriété a tout intérêt à prévoir des travaux de calorifugeage. Retour sur les détails et les avantages de l’opération. 

Confort et économies d’énergie en copropriété, le rôle des tuyauteries

Le rôle des tuyauteries dans le confort des habitants et dans les dépenses de la copropriété n’est pas à négliger. Le traitement de ces installations peut toutefois passer en second dans les constructions anciennes souffrant de multiples défauts d’étanchéité.

Dans ces situations, la priorité est à l’isolation des toitures, des murs et des sols défaillants, principaux responsables des déperditions thermiques dans l’habitat. Viennent ensuite les équipements de chauffage et les émetteurs de chaleur. Le remplacement des appareils vieillissants permet bien souvent une nette amélioration des performances.

Ces actions de rénovation sont incontournables, mais elles ne doivent pas faire oublier un maillon essentiel de la chaîne : le transfert de la chaleur produite à tous les logements de la copropriété. Le chemin est long entre la chaudière située au sous-sol et un émetteur situé au 7e étage.

Faute de protection adaptée, le fluide caloporteur perd progressivement de la chaleur. Naturellement, les derniers servis ne sont pas les mieux lotis. Mais les appartements situés en bout de chaîne ne sont pas les seuls à être pénalisés. Toute la copropriété paie le prix de ces pertes inutiles et évitables grâce au calorifugeage.

Isolation : sur quelles tuyauteries agir en copropriété ?

L’isolation des canalisations, ou calorifugeage, permet d’agir sur les différents postes de dépenses et d’améliorer le confort des occupants à différents niveaux. 

Les circuits de chauffage et d’eau chaude sanitaire

Pour desservir toute la copropriété, les canalisations de chauffage et d’eau chaude sanitaire passent par des locaux non chauffés. Le passage des tuyauteries dans les faux plafonds est aussi à surveiller. Dans ces volumes, les circuits peuvent subir de fortes déperditions thermiques, mais aussi souffrir de la formation du gel pouvant dégrader prématurément ces installations.

Les canalisations d’eau froide

Les canalisations d’eau froide sont elles aussi exposées au risque de gel en hiver. La situation est d’autant plus préoccupante dans les copropriétés mal isolées qui subissent de plein fouet les écarts de température extérieure. Dans ces conditions, l’accès à l’eau froide n’est plus garanti alors que les installations risquent d’être sévèrement endommagées par l’action du gel.

L’été apporte aussi son lot d’insatisfactions lorsque les canalisations d’eau froide ne sont pas isolées. Avec des températures ambiantes pouvant aisément dépasser les 30 °C, l’eau froide emmagasine de la chaleur. Et c’est une eau tiède, voire chaude, qui coule au robinet de l’utilisateur.

Avantages du calorifugeage pour la copropriété

Dans une copropriété, tous les avantages du calorifugeage sont amplifiés par la taille du réseau de canalisations. Les pertes potentielles sont plus lourdes, mais les économies réalisables sont aussi plus importantes.

Un confort thermique amélioré

L’isolant protège les canalisations des écarts de température. La chaleur produite est ainsi mieux conservée tout au long du trajet menant jusqu’à l’utilisateur. Après un calorifugeage, vous pouvez reprendre le rythme de croisière habituel de votre chauffage central, et observer une nette amélioration du confort thermique des occupants.

Effet sur la facture de chauffage

Vous pouvez aussi baisser votre consommation pour un même niveau de confort. En hiver, certaines copropriétés doivent payer le prix fort pour atteindre des températures convenables. Après les travaux d’isolation, vous pouvez viser la même température ambiante pour une économie d’énergie de l’ordre de 10 %.

Des économies sur la facture d’eau

La facture d’eau paraît mince à côté de celle du chauffage, mais elle reste considérable. Dans les communes où le prix de l’eau est le plus cher, les copropriétés veillent au grain et toutes les astuces sont bonnes pour faire des économies.

Le calorifugeage permet là encore d’agir à la source. La copropriété fera nécessairement des économies d’eau, quel que soit le comportement des habitants. Lorsque les canalisations sont sensibles aux écarts de températures extérieures, les utilisateurs doivent laisser couler l’eau plus longtemps pour obtenir de l’eau froide en été, ou de l’eau chaude en hiver. Ce délai est réduit après une action de calorifugeage, évitant ainsi un gaspillage important.

Un meilleur classement au DPE pour la copropriété

Les travaux de calorifugeage participent à l’amélioration des performances énergétiques du bâtiment. La copropriété peut ainsi bénéficier d’un meilleur classement au Diagnostic de Performance Energétique (DPE), et, le cas échéant, sortir du statut de passoire thermique réservé aux étiquettes « F » et « G ».

Un meilleur score au DPE est toujours à la faveur de la copropriété dans le cadre d’une vente ou d’une mise en location. Le futur acheteur sait qu’il n’aura pas à réaliser des travaux coûteux après l’acquisition. De son côté, le locataire peut s’attendre à régler une facture d’énergie raisonnable pour un confort optimal.

Les aides aux entreprises pour réussir sa transition écologique

Les aides aux entreprises pour réussir sa transition écologique

Les entreprises souhaitant améliorer leur efficacité énergétique par des travaux d’isolation peuvent bénéficier d’une aide de l’État. Cette assistance vise à soutenir les initiatives des entreprises dans la transition énergétique, en contribuant financièrement aux coûts des travaux d’isolation. Que ce soit pour l’isolation de bâtiments existants ou l’intégration de solutions isolantes dans de nouvelles constructions, l’État propose des aides et financements pour des travaux d’isolation.

Prêt, prime énergie, subventions… Quelles sont les solutions mises à la disposition des entreprises pour financer leur démarche en faveur de l’environnement et des économies d’énergie ?  

Le prêt Éco-énergie  

Le prêt Éco-énergie peut atteindre jusqu’à 500 000 € remboursables en 5 à 7 ans. Une somme destinée à la réalisation d’actions en faveur des économies d’énergie et de la protection de l’environnement. 

Quelles entreprises peuvent bénéficier de ce prêt ?  

Les entreprises éligibles au prêt éco-énergie sont les PME créées depuis plus de 3 ans et présentant une bonne santé financière.  

Les entreprises concernées peuvent mobiliser ce prêt pour financer :  

  • la mise en place d’équipements éligibles au dispositif des Certificats d’économies d’énergie (CEE) ; 
  • et toute une série de dépenses éligibles favorables à une meilleure maîtrise de la consommation énergétique (éclairage, production de froid et de chaleur, motorisation électrique, éclairage…).  

Pour vérifier l’éligibilité de votre entreprise et de votre projet, demandez conseil auprès de Bpifrance.  

Les CEE 

Le dispositif des Certificats d’économies d’énergie (CEE) s’adresse aux particuliers, mais aussi aux entreprises.  

Comment vérifier son éligibilité ?  

Les subventions CEE sont accordées aux entreprises par des tiers « obligés » par l’État à encourager l’amélioration des performances énergétiques du bâtiment. En tant qu’entreprise, vous devez vous rapprocher d’un acteur habilité afin de faire le point sur les différents critères d’éligibilité applicables.  

Quels sont les projets pouvant être financés par les CEE ?  

Les CEE peuvent financer une partie des dépenses engagées pour l’isolation thermique du bâtiment, l’installation d’un chauffage performant ou encore le renouvellement d’un système de ventilation vieillissant.  

Les opérations dites « coup de pouce » reposent sur le mécanisme des CEE. Depuis mai 2020, les entreprises peuvent bénéficier du coup de pouce « Chauffage des bâtiments tertiaires ». Cette aide de l’Etat est disponible pour plusieurs travaux d’amélioration de l’efficacité du système de production de chaleur.  

Les aides de l’Ademe pour les entreprises  

L’agence de la transition écologique, Ademe, propose des solutions aux entreprises pour accélérer la rénovation des locaux professionnels et la mise en place d’actions de protection de l’environnement.  

Financer un projet en faveur de la transition écologique  

Les subventions ADEME visent à permettre aux parties prenantes de soutenir financièrement des initiatives visant la transition énergétique des sociétés.

Concernant les bénéficiaires, l’offre est ouverte à l’ensemble des sociétés situées sur le territoire national sans distinction.

Quant aux initiatives soutenues, elles doivent contribuer à la transition écologique et peuvent inclure des efforts de communication, de sensibilisation et de formation. Il est important de noter que ce soutien financier étatique n’est pas prévu pour des projets d’amélioration de l’isolation thermique ou le remplacement de systèmes de chauffage.

Financer une étude réalisée par un prestataire extérieur  

Les demandes d’aide pour des services externes tels que les études, l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMO) ou à Maîtrise d’Œuvre (MOE), peuvent être soumises aux subventions de l’ADEME.

L’aide est destinée aux entreprises industrielles, incluant principalement les PME et certaines grandes entreprises, à condition qu’elles emploient moins de 250 personnes. Les espaces dédiés aux activités de bureau ne sont pas concernés.

L’aide financière de l’ADEME vise à couvrir une partie des coûts associés aux études de faisabilité pour améliorer l’efficacité énergétique des sites de production.

Financer un audit énergétique sur le site de production  

L’ADEME encourage également la réalisation d’audit de performances sur les sites industriels pour une meilleure maîtrise de la consommation en énergie.  

Le dispositif s’adresse aux PME et aux Grandes Entreprises de moins de 250 salariés qui souhaitent réaliser un audit afin de relever différents éléments utiles dans une démarche d’économies d’énergie :  

  • Identifier les sources de dépenses en énergie ; 
  • Proposer des actions pour favoriser une meilleure gestion des ressources ; 
  • Prioriser efficacement les différentes actions à mettre en place.   

L’ADEME recommande aux entreprises de se rapprocher de la Direction Régionale dont elles relèvent. Ceci, afin de vérifier leur éligibilité et celle du projet.  

Qu’en est-il du crédit d’impôt transition énergétique pour les entreprises ? 

Les entreprises ayant réalisé des travaux d’amélioration des performances énergétiques de leurs locaux entre le 1ᵉʳ octobre 2020 et le 31 décembre 2021, ont pu bénéficier d’un crédit d’impôt de 30 %, calculé sur le montant des dépenses éligibles engagées.  

La déclaration des dépenses se fait au moment de la déclaration annuelle de résultat. Les conditions d’application sont fixées par la Loi de finance pour l’année où la dépense a été effectuée par l’entreprise. Pour les dépenses réalisées depuis l’automne 2020 et jusqu’à la fin de l’année 2021, cet avantage était réservé aux PME pour plusieurs actions de rénovation (isolation thermique, ventilation, chauffage…).  

Alsic vous accompagne dans vos projets 

Les aides aux entreprises pour la rénovation, sont mises en place à l’échelle nationale, mais aussi locale, avec plusieurs subventions pour rénover un local commercial, qui peuvent être accordées par les collectivités. Tous ces dispositifs ont un point commun : ils imposent des règles très strictes quant à la qualité des produits et aux certifications des professionnels engagés pour leur mise en œuvre.   

Alsic se spécialise en produits d’isolation thermique pour le bâtiment et l’industrie. Basé à Duttlenheim, en Alsace, le dépôt de 1 300 m² regroupe une grande variété de références à haute performance énergétique.  

Vous recherchez une marque, une référence ou encore une certification particulière ? Utilisez le moteur de recherche interne Alsic pour trouver le produit qui correspond aux exigences du cahier des charges.  

La société Alsic fait partie du groupe Eozia. Ainsi, elle bénéficie d’un large réseau afin de vous proposer des solutions uniques pour vos chantiers. L’équipe Alsic vous aide à faire les bons choix et vous apporte un éclairage technique précis sur les différents produits.

Pourquoi isoler les locaux de son entreprise ?

Pourquoi isoler les locaux de son entreprise ?

L’isolation en milieu industriel et plus globalement en milieu professionnel est un aspect essentiel de l’aménagement de ses locaux. Effectivement, dans les usines, assurer une bonne isolation par calorifugeage permet non seulement de répondre aux exigences en matière de sécurité, mais également d’améliorer le confort de vie des salariés sur le lieu de travail. Alsic, spécialiste de l’isolation calorifuge, vous en dit plus sur l’isolation des usines et des locaux industriels.

Rappel : qu’est-ce que l’isolation calorifuge

L’isolation par calorifugeage est un type de travaux d’isolation légèrement différent de celui que l’on peut utiliser pour un logement. Effectivement, le calorifugeage est adapté aux usines ainsi qu’aux locaux industriels. Il s’agit d’un procédé d’utilisation se concentrant principalement sur les tuyaux ainsi que les canalisations.

Les matériaux utilisés ne diffèrent pas vraiment de l’isolation classique des combles d’une maison. Il faudra ainsi compter sur des matériaux comme la laine de roche ou la laine de verre. Cependant, le procédé d’isolation se fait en enroulant des matériaux isolants autour des tuyaux.

Ces derniers transportant souvent des liquides très chaud ou très froid, il est nécessaire d’utiliser des matériaux résistants à des températures extrêmes.

Pourquoi isoler ses locaux professionnels ?

L’isolation des locaux professionnels comme les bureaux, les locaux industriels, les usines ou les locaux commerciaux répond à deux obligations.

  • Une obligation de sécurité. L’employeur est soumis, en vertu du Code du Travail, à une obligation de sécurité. Cela signifie qu’il doit absolument assurer la sécurité de ses salariés, peu importe les circonstances, et ce tant que ces derniers ne sont pas coupables d’une erreur mettant leur vie ou leur travail en danger. Le calorifugeage permet ainsi d’assurer leur sécurité en renforçant un peu plus la résistance des différents tuyaux. Ces derniers chargent des produits très chaud et/ou très froid qui peuvent mettre la vie des salariés en danger en cas de fuite.
  • Effectuer des économies d’énergie. Lorsqu’il s’agit de canalisations ou de tuyaux de chauffage, le calorifugeage est un travail de rénovation ou de construction à ne pas négliger. Effectivement, les déperditions thermiques représentent une forte perte d’énergie à cause des déperditions thermiques. Cette énergie perdue signifie qu’il sera nécessaire d’en dépenser encore plus afin de chauffer ou de refroidir une pièce. Cela se solde donc par une augmentation des dépenses en matière d’approvisionnement en gaz et/ou en électricité.
  • Le confort des salariés. Améliorer le confort des salariés est un aspect essentiel du bien-être au travail. L’isolation représente donc un excellent moyen pour leur apporter plus de confort. Des locaux où il fait très froid en hiver ou très chaud en été ne sont pas des lieux agréables pour travailler et s’épanouir.

Avec le calorifugeage de vos locaux industriels, vous pourrez en partie solutionner ces trois problèmes en une seule fois. Cependant, le premier avantage, reste évidemment d’assurer la sécurité de ses salariés.

Quelles sont les parties de mes locaux que je dois absolument isoler ?

Outre les tuyaux et les canalisations, les installations comme les pompes à chaleur et plus globalement n’importe quel tuyau transportant un liquide très chaud ou très froid doit être isolé. En ce qui concerne le bâtiment en lui-même, 30% des déperditions thermiques se font par le toit. C’est la raison pour laquelle l’isolation des combles de sa toiture est une priorité. Les murs et le sol de son local industriel ou de vos bureaux doivent également être isolés, car à eux deux, ils représentent également 30 % des déperditions thermiques d’un bâtiment.

Ainsi, isoler les combles de sa toiture ainsi que les sols et les murs permet déjà de réduire les déperditions énergétiques de 30 %. Le reste passe principalement par les portes et les fenêtres si celles-ci ne sont pas correctement calfeutrées.

Comment et pourquoi effectuer un bilan énergétique ?

Un bilan énergétique ne doit pas être confondu avec un DPE (Diagnostic de Performance Énergétique). Le DPE a pour objectif d’évaluer la consommation d’énergie d’un bâtiment ou d’un logement. Il s’agit donc d’un diagnostic principalement destiné aux particuliers et à leurs habitations. Il définit la consommation d’énergie de l’habitat d’un particulier.

La différence entre le bilan énergétique et le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE)

Le bilan énergétique, quant à lui, est légèrement différent du DPE puisqu’il s’adresse principalement aux industriels. Là où un DPE se concentre essentiellement sur la consommation de gaz et d’électricité, le bilan énergétique d’un local, d’un bureau ou d’une usine va évaluer l’ensemble de la construction dans tous ses aspects. Cela implique bien évidemment le chauffage et l’électricité. Cependant, cela concerne également la ventilation, la climatisation ou encore les habitudes des utilisateurs et de vos salariés.

Effectuer un bilan énergétique permet ainsi de cibler les points d’amélioration et les lacunes de votre bâtiment ainsi que de votre entreprise dans son ensemble. L’objectif étant de pallier ses défauts afin de gagner en compétitivité. À l’heure où l’énergie devient de plus en plus chère, à cause de la raréfaction des ressources, mieux vaut limiter sa consommation.

Les entreprises ayant l’obligation d’effectuer un bilan énergétique

Si toutes les entreprises sont susceptibles d’effectuer un bilan énergétique, pour certaines, il s’agit d’une obligation.

  • Les entreprises employant plus de 250 salariés sont obligées d’effectuer un bilan énergétique.
  • Il en va de même pour celles générant un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions d’euros.

Cependant, les entreprises ayant déjà mis en œuvre un système de management de l’énergie tel qu’expliciter dans la norme ISO 50001 sont exemptées de telles obligations.

À qui demander un bilan énergétique ?

Si vous êtes sous l’obligation d’effectuer un bilan énergétique, si vous souhaitez simplement réaliser des économies ou même réduire votre empreinte carbone, vous pouvez vous tourner vers l’une des nombreuses entreprises spécialistes des bilans énergétiques dans le secteur tertiaire et/ou industriel. Une fois cet audit effectué, vous avez l’obligation de le transmettre à l’ADEME.

Je suis locataire de mon local industriel – puis-je effectuer des travaux d’isolation ?

En principe, le locataire d’un local commercial, d’un bureau ou d’une usine n’est pas censé pouvoir effectuer des travaux comme il l’entend. Il s’agit d’ailleurs de l’un des premiers freins lorsqu’un locataire souhaite effectuer des travaux. Effectivement, tous les propriétaires d’un local commercial ou industriel ne sont pas enclins à autoriser les locataires à effectuer des travaux.

Cela implique un surcoût pour eux, surcoût que le locataire peut prendre en charge. Cela implique également une modification de leur local. En principe, un locataire peut effectuer des travaux s’il est capable de remettre le local en l’état au moment de la fin du bail, et ce, afin de le restituer comme évalué au moment de l’état des lieux.

Cependant, il est également impératif pour un propriétaire de respecter la réglementation en vigueur. Cela implique d’assurer la location d’un local fonctionnel. Cela peut, dans le cadre d’un local professionnel, également passer par des aménagements ainsi que de l’isolation calorifuge.

Les matériaux destinés à l’isolation des locaux professionnels

Parmi l’ensemble des matériaux d’isolation et de calorifugeage disponibles, tous ne possèdent pas les mêmes propriétés. Certains résistent beaucoup mieux à des chaleurs extrêmes qu’à des températures très froides. Il est nécessaire de s’assurer que les caractéristiques techniques des produits soient cohérentes avec les besoins de vos locaux.

Voici une liste non exhaustive des matériaux nécessaires au calorifugeage les plus communs.

  • La laine de verre : il s’agit d’un matériau composé essentiellement de sable et de verre recyclé. La laine de verre n’est pas conductrice de chaleur et peut résister à des températures de plus de 600 °C, car cette dernière est incombustible et ne peut donc pas prendre feu. Disponible à un prix très accessible, il s’agit d’un grand classique en matière d’isolation thermique.
  • La mousse élastomère : ce matériau possède d’excellentes propriétés thermiques, mais est également un produit performant sur le plan acoustique. La mousse élastomère est un matériau étanche et pouvant résister à des températures s’élevant à plusieurs centaines de degrés.
  • Le verre cellulaire : il s’agit d’un des produits phares en matière de calorifugeage. Incombustible, imputrescible et résistant à l’humidité, le verre cellulaire peut résister à des chaleurs extrêmes et à des froids polaires.

Il ne s’agit là que d’un petit aperçu des matériaux utilisables en matière de calorifugeage. Cependant, selon vos besoins, vous pourrez également, par exemple, vous tourner vers des produits comme la laine de roche qui peut résister à des températures atteignant le millier de degrés.

Isolation thermique et acoustique de ses locaux

Si l’isolation thermique joue un rôle majeur en matière de calorifugeage et pour assurer le confort de vos salariés, l’isolation phonique, particulièrement en milieu industriel est toute aussi importante. Dans l’industrie, certaines machines sont particulièrement bruyantes et peuvent mettre en danger l’audition de vos salariés. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas négliger l’isolation acoustique. Heureusement, certains produits comme la mousse élastomère présentée ci-dessus, proposent d’excellentes propriétés acoustiques et isolent parfaitement le bruit comme la chaleur.